Fidèle à sa mission, ce site va porter à votre connaissance un encart assez complet qui se propage sur le web. Le sujet est «l’automobile».
Son titre (Carnaval : le dress code particulier de l’Aragou) parle de lui-même.
Sachez que le rédacteur (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez prendre connaissance de ces infos en confiance.
Texte source :
Si la bande des Fennos s’est taillé une réputation de chantre de la mode carnavalière, les fécos de l’Aragou ont, en la matière, apporté une note tout à fait particulière.
Ce qui caractérise cette bande de la petite ville, c’est certainement son côté imprévisible, doté d’une forte propension à une démonstration burlesque poussée parfois à l’extrême.
Comme à leur habitude, les carnavaliers se mettent en action depuis l’autre rive de la ville empruntant le pont Neuf. C’est précisément cet endroit que choisissent les badauds limouxins afin de guetter, en avant-première, le début de la mise en scène carnavalesque. Car, à ne pas s’y tromper, pour l’Aragou il s’agit bien d’une mise en scène où chacun maîtrise un rôle.
La grande lessive des carnavaliers
Côté propreté et tenue vestimentaire, ces carnavaliers-là avaient ce dimanche un aspect physique des plus négligés. Pêcheurs, plongeurs, employés du bâtiment, charbonniers, les fécos offraient au public une présentation des plus repoussantes.
Heureusement, les membres de l’Aragou avaient pris soin d’installer en place publique, une machine à laver géante. Et c’est donc au beau milieu d’une grande foule que les carnavaliers effectuèrent ladite « grande lessive ».
Le problème, c’est que tous les protagonistes n’étaient certainement pas des fées du lavage ! Malgré l’approvisionnement de nombreux paquets de lessives, toutes plus moussantes les unes que les autres, c’est dans profond désordre, voire tumulte, que les carnavaliers s’escrimaient à laver plus « blanc que blanc ». À grand renfort d’eau, de lessive dans le tambour de la machine, les choses prenaient alors un caractère très loufoque.
Les étendoirs étirés de part et d’autre du lieu étaient occupés par de véritables guenilles dégoulinantes d’eau et de mousse.
Un manque de pratique
Preuve était faite ! Les membres de l’Aragou ne sont pas des spécialistes du lavage, loin s’en faut, ni du bon goût vestimentaire. Dans ce domaine justement, ils auront tout loisir dans les prochaines semaines de prendre quelques leçons auprès des Fennos.
Heureusement ! Les fécos de la petite ville possédaient d’autres atouts. En outre, un art et une maîtrise incontestés du folklore local. S’attirant avec un sens inné de l’effet comique la sympathie du public, ils ont entraîné celui-ci dans une ronde sous les arcades qui ne s’arrêtera pas avant la nuit tombée.
Ce qui caractérise cette bande de la petite ville, c’est certainement son côté imprévisible, doté d’une forte propension à une démonstration burlesque poussée parfois à l’extrême.
Comme à leur habitude, les carnavaliers se mettent en action depuis l’autre rive de la ville empruntant le pont Neuf. C’est précisément cet endroit que choisissent les badauds limouxins afin de guetter, en avant-première, le début de la mise en scène carnavalesque. Car, à ne pas s’y tromper, pour l’Aragou il s’agit bien d’une mise en scène où chacun maîtrise un rôle.
La grande lessive des carnavaliers
Côté propreté et tenue vestimentaire, ces carnavaliers-là avaient ce dimanche un aspect physique des plus négligés. Pêcheurs, plongeurs, employés du bâtiment, charbonniers, les fécos offraient au public une présentation des plus repoussantes.
Heureusement, les membres de l’Aragou avaient pris soin d’installer en place publique, une machine à laver géante. Et c’est donc au beau milieu d’une grande foule que les carnavaliers effectuèrent ladite « grande lessive ».
Le problème, c’est que tous les protagonistes n’étaient certainement pas des fées du lavage ! Malgré l’approvisionnement de nombreux paquets de lessives, toutes plus moussantes les unes que les autres, c’est dans profond désordre, voire tumulte, que les carnavaliers s’escrimaient à laver plus blanc que blanc. À grand renfort d’eau, de lessive dans le tambour de la machine, les choses prenaient alors un caractère très loufoque.
Les étendoirs étirés de part et d’autre du lieu étaient occupés par de véritables guenilles dégoulinantes d’eau et de mousse.
Un manque de pratique
Preuve était faite ! Les membres de l’Aragou ne sont pas des spécialistes du lavage, loin s’en faut, ni du bon goût vestimentaire. Dans ce domaine justement, ils auront tout loisir dans les prochaines semaines de prendre quelques leçons auprès des Fennos.
Heureusement ! Les fécos de la petite ville possédaient d’autres atouts. En outre, un art et une maîtrise incontestés du folklore local. S’attirant avec un sens inné de l’effet comique la sympathie du public, ils ont entraîné celui-ci dans une ronde sous les arcades qui ne s’arrêtera pas avant la nuit tombée.
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